Éditorial

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C'est en 1988 que j'ai découvert Martine Carol. Cette année-là, une chaîne publique diffusa "Caroline chérie" puis la semaine suivante "Un caprice de Caroline Chérie". Ce fut pour moi une révélation. Je fus subjugué par Martine, par son jeu d'acteur et surtout par la lumière se dégageant de sa personnalité. Plus tard, je me procurai en cassette "Madame du Barry", "Lucrèce Borgia" et "Lola Montès". Ce site, le premier consacré à Martine Carol, n'a pas d'autre vocation que de mieux faire celle dont Jacques Laurent a écrit: "Elle fut la première à douter d'un triomphe qu'il ne lui semblait pas avoir mérité".

Bonne découverte !

Christophe BOURACHOT.
Paris, Janvier 2003.





		Éditorial C'est en 1988 que j'ai découvert Martine Carol. Cette année-là, une chaîne publique diffusa "Caroline chérie" puis la semaine suivante "Un caprice de Caroline Chérie". Ce fut pour moi une révélation. Je fus subjugué par Martine, par son jeu d'acteur et surtout par la lumière se dégageant de sa personnalité. Plus tard, je me procurai en cassette "Madame du Barry", "Lucrèce Borgia" et "Lola Montès". Ce site, le premier consacré à Martine Carol, n'a pas d'autre vocation que de mieux faire celle dont Jacques Laurent a écrit: "Elle fut la première à douter d'un triomphe qu'il ne lui semblait pas avoir mérité". Bonne découverte ! Christophe BOURACHOT. Paris, Janvier 2003.

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